Sardines à l’huile d’olive vierge extra bio Millésimées 2025

L’édition millésimée 2025 se décline en trois boîtes issues du travail du photographe Hervé Maupin. Inspirées de son ouvrage « Peintres de carènes et haïkus – La couleur en éveil », elles révèlent les traces picturales laissées par les artisans du chantier de carénage du Guilvinec. Abstraites et spontanées, ces empreintes éphémères, captées depuis plus de trente ans par le photographe, témoignent du temps qui passe et offrent des résonances avec l’univers de Jackson Pollock ou encore d’Yves Klein.

Une série millésimée

À travers cette série, nous voulons faire honneur au savoir-faire historique de la conserverie et au travail créatifs d’artistes contemporains de notre région. Le millésime garantit des sardines de qualité supérieure qui se bonifient avec le temps.

Une pêche de saison

Notre sardine, sardina pilchardus, est pêchée pendant la pleine saison, de mai à octobre. C’est à ce moment de l’année qu’elle est la plus charnue et qu’elle sera donc la plus moelleuse et savoureuse. La sardine vient des ports de Lorient, Concarneau, Douarnenez, Saint-Guénolé en Bretagne, et parfois de St Gilles Croix de Vie en Vendée.

Une fabrication traditionnelle dans notre atelier de Penmarc’h

Les sardines sont travaillées fraîches, étêtées et éviscérées au couteau. Elles sont frites à l'huile. C’est cette cuisson à l'ancienne qui donne ce côté confit que les amateurs de sardines apprécient particulièrement et qui permet aux sardines de mieux vieillir dans leur boîte. Le père et le grand-père de Jean-François Furic travaillaient de cette façon. On change l'huile de cuisson régulièrement, plus souvent que la norme Label Rouge le demanderait.

Un emboîtage à la main

Une coupe de la queue et du collet est réalisée avant la mise en boîte. Dans notre conserverie, l’emboîtage est manuel et dit « en bleu ». Les dos sont visibles à l'ouverture de la boîte contrairement à l’emboîtage « en blanc » où ce sont les ventres.
Nous mettons 4 à 6 sardines par boîte.